dimanche, 20 février 2011
Avion aux enchères, pour payer une petite partie des dettes anciennes de M. Fernando de ALMEIDA GOMES, comme cette dette fiscale de 178.560 € …
Fini de jouer la fille de l’air…
Le « cauchois anonyme » a récidivé (merci à lui, ou à elle), qui m’avait signalé la semaine dernière la présence au Havre de notre ami Fernando de ALMEIDA GOMES, dans une prison flambant neuve (construite par ses concurrents du groupe Bouygues à St Aubin Routot, voir Bakchich Hebdo n°26). Une prison inaugurée le 29 juillet dernier par Michèle ALLIOT-MARIE, qui ne s’occupait pas encore d’affaires étrangères, avec le succès qu’on sait…
Pas l'avion de Mme Ben Alliot...
J’ai donc reçu samedi un nouveau courrier, comportant la reproduction d’une annonce légale, annonçant la vente aux enchères publiques, le mercredi 16 mars prochain, à Auxerre, d’un aéronef Immatriculé F–GFIU (ça vous rappelle quelque chose ?).
Avec cette fois un bref message d’encouragements : « Il faut continuer à s’indigner ! ». Message reçu. Je ferai mon possible…
C’est là un avion que Mme Ben Alliot n’a sans doute jamais emprunté pour véhiculer sa petite famille, mais qui appartenait cependant à un flamboyant « homme d’affaires », naguère connu des seuls caennais appartenant à l’élite de nos concitoyens (voir sur ce blog ma note du 25 avril 2010 : T’as vu l’avion ?).
Aviation, et grosse cavalerie…
Dans un petit complément publié le 12 mai 2010, à la fin d’une note consacrée à la condamnation de notre ami Fernando à une peine de 4 mois de prison ferme par le Tribunal Correctionnel de Caen, j’expliquais comment ce fameux Piper PA 32 R 301 Saratoga de 1981 immatriculé F-GFIU (aéronef monomoteur de 300 cv et 6 places) était devenu la propriété d'un mystérieux DE ALMEIRA GOMES Fernando...
On y apprenait que la Sarl SERVICES VENTES, société de M. GOMES en liquidation judiciaire depuis le 3 décembre 2009, était propriétaire de ce F-GFIU du 21 août 2007 au 16 mai 2008, date à laquelle cet avion était immatriculé au nom de M. GOMES (avec une malencontreuse faute de frappe dans son nom, altéré en DE ALMEIRA, au lieu de DE ALMEIDA). C’était en effet un investissement un peu coûteux pour une société au capital de 7.622,45 €... qui allait « se crasher », comme on dit chez les spécialistes du vol à vue…
Trop d’impôts tue l’impôt…
On ne sait si la liquidation de la Sarl SERVICES VENTES est aujourd’hui clôturée (sans doute sur une insuffisance d’actif, dans ce cas), mais on sait par contre à quoi doit servir le prix qu’on pourra tirer, aux enchères, de l’avion racheté in extremis par M. GOMES à l’une de ses sociétés moribondes.
Si la mise à prix n’est que de 50.000 €, la dette à éponger (une parmi d’autres) est par contre de 178.560 €. Une dette pas vraiment récente, et limitée au seul volet fiscal des dettes de Fernando, comme due à Monsieur le Comptable des Impôts du service des entreprises de Nanterre La Défense, en vertu d’un Jugement du Tribunal de Grande Instance du Havre en date du 25 février 2010, d’un jugement du Tribunal Correctionnel de Nanterre du 18 mai 2006 et d’un arrêt de la Cour d’Appel de Versailles du 20 mars 2008.
J’ai vainement cherché le texte de ces décisions (ma vive reconnaissance à qui m’en communiquera des copies), mais je crois qu’on peut utilement se reporter à un Arrêt de la Cour de Cassation du 27 février 2002 (Chambre criminelle n° 0030151) pour savoir quels reproches un peu fondés l’administration fiscale peut faire à un homme comme M. Fernando de ALMEIDA GOMES (fraude fiscale, activités occultes, minoration des déclarations… lorsqu’elles sont souscrites, achats et ventes sans factures, fausses factures, écritures inexactes ou fictives dans les documents comptables de ses sociétés…). Allez voir par vous-mêmes :
http://www.lexeek.com/jus-luminum/decision-cass-crim-27-02-2002-0030151,214004.htm
Ecce homo…
Voilà l’homme que NEXITY GEORGES V envoyait en avant-garde pour obtenir les permis de construire de ses « Villas Mathilde » et de son « Clos des Etudiants » sur les terrains horticoles naguère inconstructibles de l’Institut Lemonnier (promesse entérinée en son temps par une délibération du conseil municipal de notre ville, sous la présidence de M. Jean-Marie GIRAULT). L’homme qui assistait goguenard à la présentation par MM. Eric MOISSET (directeur de l’Institut Lemonnier) et Luc DUNCOMBE (aujourd’hui candidat au renouvellement de son mandat de conseiller général de Venoix) d’une fort opportune révision simplifiée du plan d’occupation des sols, autorisant l’urbanisation de ces terrains. L’homme qui clamait dans Ouest-France son admiration pour Brigitte LE BRETHON (« Je l’admire énormément pour sa hargne et son savoir-faire politique », article du vendredi 9 juin 2006, consultable ici).
L’homme enfin dont Philippe DURON et Xavier LE COUTOUR ont jusqu’au bout défendu le permis de construire de la « Villa des Dames » sur l’avenue de Tourville…
…alors que le pédigrée de notre Fernando n’avait, pour le second du moins, plus rien de secret…
En savoir plus sur la nouvelle prison du Havre :
Prison Le Havre.pdf
http://www.liberation.fr/societe/0109619609-nouvelles-prisons-ultramoderne-solitude
17:42 Écrit par Bruno dans La saga de Fernando de Tourville | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : f-gfiu, prison du havre, st aubin routot, fernando de almeida gomes, groupe bouygues, michèle alliot-marie, sarl services ventes, nexity georges v, villas mathilde, clos des etudiants, institut lemonnier, jean-marie girault, eric moisset, luc duncombe, brigitte le brethon, philippe duron, xavier le coutour, villa des dames, avenue de tourville à caen
vendredi, 09 juillet 2010
Le Cloître du Bon sauveur aujourd’hui, l’escalier de la Chambre de Commerce en 2003, St Vincent de Paul en plein Site Inscrit… ou Bouygues, Eiffage, Rufa and Co en leurs oeuvres.
Coprophages…
Je ne suis certes pas un inconditionnel du néo-gothique, mais je suis moi aussi scandalisé par la destruction du cloître du Bon sauveur, surtout dans les conditions de sa mise en œuvre, en urgence, comme s’il convenait de faire table rase le plus rapidement possible, et ainsi de faire échec à tout aménagement, même limité, du projet d’un promoteur privé.
Pourtant, ne nous assurait-on pas dans Ouest-France (le mercredi 23 juin) que « Le cloître serait démonté et reconstitué sur une partie de son emplacement actuel aux frais d’Eiffage » ? Et que c’était là une avancée significative, pour Xavier LE COUTOUR, lequel reprenait son couplet habituel : « Il faut comprendre qu’on a aussi un devoir de répondre aux besoins de logements en centre-ville. »
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Caen-le-cloit...
Quels logements ? Et pour qui ? Il va devenir urgent de montrer que la prétendue présence de logements dits sociaux (évidemment pas très sociaux) dans les programmes privés comme celui d’Eiffage n’est qu’une farce. Une farce dont on voudrait faire une obligation dans le PLU, parce que c’est une illusion à la mode… de Paris ou de Dijon.
Mais revenons à nos avancées significatives, et à nos tas de gravats qui mettent en lumière les immenses qualités de médiateurs de Xavier LE COUTOUR et Philippe DURON… auxquels EIFFAGE montre qu’il est le maître chez lui.
De quoi faire douter aussi, comme l’assurent maire et adjoint, que « la cour d’honneur de 2 000 m2 ne sera jamais privatisée et fera l’objet d’une servitude publique.». Ne nous avait-on pas assuré naguère qu’un passage public serait aménagé entre la rue de Bayeux et la rue de Bretagne, à travers le parc de St Vincent de Paul (détruit par Eiffage et Rufa) ? Promesse non tenue. Et, bien sûr, il n’est pas possible d’instituer une servitude publique après la délivrance d’autorisations d’urbanisme qui n’en font pas état. Xavier LE COUTOUR devrait le savoir…
Tout cela est lamentable, et révélateur de l’envergure de nos élus (d’aujourd’hui comme d’hier). Et on ne peut dès lors que partager la colère des rédacteurs du « Caennais déchaîné » :
http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-cloitre-v...
http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-cloitre-d...
http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-caennais-...
Le précédent de Bouygues à la CCI
A supposer maintenant qu’EIFFAGE ait décidé seul de démolir (sans plus tarder) le cloître du Bon Sauveur (en omettant de prévenir le petit peuple des élus, et sans leur bénédiction), l’affaire n’est pas sans rappeler la méthode similaire mise en œuvre par BOUYGUES en 2003 pour faire disparaître l’escalier de la CCI à la veille de son classement. Les curieux trouveront une relation de cet événement à l’adresse suivante :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ancienne_chambre_de_commerce...
Pour tout complément d’information sur l’œuvre de Raymond Subes, voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_Subes
Pour l’escalier disparu, je vous en propose ci-dessous une image (cliché Central Photo daté du 4 novembre 1956, reproduit dans « Renaissance d’une ville, la reconstruction de Caen, 1944-1963 », Ed. Delpha 1994).
Et pour finir, un grand moment d’émotion à l’écoute de Gilles DETERVILLE, qui ne rechigne pas à relayer la parole officielle, et n’abandonne pas un collègue en difficulté : « Je fais toute confiance à mon collègue en charge de ce dossier Xavier Le Coutour pour trouver la meilleure issue à ce difficile dossier ». Joli résultat !
http://gillesdeterville.parti-socialiste.fr/?p=1161
Ajoutons-y l’amusante contribution au débat de Luc DUNCOMBE (sarko-centriste devenu depuis peu radical de droite, à ce qu’il paraît). Amusante, car l’ancien maire-adjoint de Brigitte LE BRETHON à l’urbanisme (2001-2008) feint d’oublier les fortes similitudes de son action d’alors avec celle de son successeur radical (dit de « gauche ») Xavier LE COUTOUR. N’a-t-il pas lui aussi bricolé le POS de Caen, s’agissant par exemple des terrains horticoles de l’Institut Lemonnier, pour offrir à NEXITY Georges V (et à la Sarl GOMES, de notre ami Fernando de ALMEIDA GOMES, envoyée en avant-garde) le terrain de jeux qui lui convenait ?
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Reaction-a-la...
Le Canard Enchaîné, 16 juin 2010
23:41 Écrit par Bruno dans Urbanisme et logement | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : bouygues, eiffage, rufa, le cloître du bon sauveur, st vincent de paul, l’escalier de la chambre de commerce, raymond subes, xavier le coutour, philippe duron, gilles déterville, luc duncombe, nexity georges v, fernando de almeida gomes
vendredi, 23 avril 2010
Les invendables de M. GOMES Père dans la vitrine de M. GOMES Fils
Qui veut investir...
dans l'immobilier virtuel ?
Voilà maintenant plus de deux ans que je vous raconte sur ce blog les aventures (et les mésaventures) de M. Fernando de ALMEIDA GOMES, sans trop m'attarder sur celles des autres membres du clan, David GOMES le fils, Michaël AMOUR le notaire aujourd'hui sans étude, Christophe MERIER et Patrice GUDEL les associés, et j'en passe...
Mais après vous avoir conté comment notre Fernando a écopé de 15 ans de faillite personnelle, j'ai eu la curiosité d'aller voir sur la toile ce que M. David GOMES pouvait bien avoir à vendre aujourd'hui, et je n'ai pas été déçu en visitant le site de sa SARL DGI CONSULTING (SIREN 478 129 570), domiciliée au 38 rue de Bassano, 75 008 PARIS. Rappel: DGI, c'est DG pour David GOMES, et I comme Immobilier...
« Avec nous, bâtissez votre avenir ! »
Commençons par la profession de foi, vibrante et creuse à souhait: « Notre cœur de métier: L'IMMOBILIER. Fort d'années d'expérience dans la promotion et commercialisation immobilière, DGI Consulting a su unir son équipe autour d'une charte de qualité capable de vous proposer des investissements ou produits en adéquation avec un rapport financier et/ou fiscal ayant en dénominateur commun l'emplacement de votre bien et sa juste valeur. »
On cherchera en vain sur ce site le texte de la « charte de qualité » dont il vient d'être question. Mais passons sans attendre au menu, manifestement copieux: « DGI est présent sur différents sites à travers l'Europe. Choisissez le pays qui vous intéresse... ». Au choix le Royaume Uni, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, les Canaries. Première déception, on n'obtient à chaque fois qu'une seule et même réponse: « Projets en cours ». Et rien non plus aux Iles Vierges britanniques...
Revenons donc en France. Là au moins, on a le choix entre 22 régions. Mais c'est encore « Projets en cours » pour 18 d'entre elles, et pour les 4 dernières (Basse-Normandie, Centre, Haute-Normandie, PACA), ça mérite le coup d'œil...
Une bicoque à Blois, une case commerciale à Harfleur...
Passons rapidement sur les affaires à réaliser dans la région Centre. Elles se résument à une bicoque à rénover, à 7 km de Blois, proposée à 110.000 €.
Pour la Haute-Normandie, 2 propositions cette fois. D'abord une surface commerciale de 67,9 m², « livrée brute de béton », bradée 100.000 € (au lieu de 150 000 €), dans une Résidence Charles VII (de 39 logements) située à Harfleur, et livrée nous dit-on en septembre 2009. Une co-production BSI / DGI Consulting, paraît-il.
BSI, ça ne vous rappelle rien ? Faudrait être plus attentifs ! C'est une des nombreuses sociétés de M. Philippe CLEMENCIN, promoteur basé à La Rochelle, pour lequel notre Fernando a travaillé à Douvres la Délivrande (Sarl « Les Jardins de Notre-Dame », en liquidation judiciaire comme il se doit) et à Caen (« Les Hauts de Venoix »).
« Les Courtines », permis à céder...
La seconde proposition est plus curieuse. En voilà la présentation:
« Opération para-hôtelière, complexe "Les Courtines". Cette opération de résidence services avec permis de construire (environ 5500m² de SHON) de 150 unités, 200 places de parking, et communs de services se situe à Harfleur (76). (...) Toutes les études d'avant et après obtention du permis de construire pour l'exécution ont été réalisées. »
La SARL « Les Courtines » (SIREN 490 438 819) de M. Christophe MERIER, fidèle compagnon de route de la famille GOMES, a pourtant été immatriculée au RCS du Havre dès le 8 juin 2006, et la commune d'Harfleur lui avait à la même époque cédé 10.017m² de terrains à 40 euros HT du m², pour la construction de cette fameuse résidence hôtelière (délibération de la CODAH -communauté d'agglo du Havre- du 4 juillet 2006). Voir à ce sujet la note suivante :
http://caennaissivoussaviez.hautetfort.com/archive/2009/0...
Si je comprends bien, ce n'est là encore qu'un projet, sur le papier. A vendre en l'état, c'est-à-dire à construire. Selon le même schéma que « Les Villas Mathilde » et « Le Clos des Etudiants » à Caen. Sauf qu'à Caen la famille GOMES agissait pour le compte de NEXITY, qui a repris les permis, moyennant sans doute une honnête commission pour les services rendus. Mais à Harfleur on ne semble pas se bousculer pour reprendre ce projet de résidence hôtelière, ou para-hôtelière...
Une résidence seniors à Grasse,
qui a pris un coup de vieux définitif...
Il nous reste deux régions à explorer: Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA), et notre (Basse) Normandie. Gardons pour la fin les produits du terroir, et cap au sud... où la famille GOMES nous propose d'investir dans son « Palais Victoria », là encore à l'état de projet, en outre sérieusement compromis comme on le verra bientôt:
« Programme et foncier à vendre avec permis de construire purgé de tout recours et en cours de validité. Cet ancien palace construit en 1903, situé en coeur de ville de Grasse, connue comme la capitale de la parfumerie française, il surplombe toute la baie de Cannes ce qui en fait un foncier extrêmement bien positionné. Cette bâtisse en parfaite état bénéficie d'un permis de construire purgé de tout recours et destiné à construire 42 logements en résidence seniors. Prix: nous consulter ».
Voilà quelques courtes lignes (fidèlement reproduites) qui témoignent assez des compétences de leur auteur dans le maniement de notre langue, mais là n'est pas l'essentiel. La vraie question est que cette fois M. David GOMES... n'a absolument rien à vendre. Rien que du vent.
La Sarl Palais Victoria de son père Fernando de ALMEIDA GOMES (et de M. Christophe MERIER, co-gérant), en redressement judiciaire depuis le 9 février 2009, était en effet en liquidation judiciaire, trois mois plus tard seulement (jugement du 18 mai 2009)... Les investisseurs tentés par l'aventure peuvent s'adresser au liquidateur, la SELARL GAUTHIER SOHM, 80 Route des Lucioles 06410 VALBONNE. Plus d'infos dans les notes suivantes:
http://caennaissivoussaviez.hautetfort.com/archive/2009/0...
http://caennaissivoussaviez.hautetfort.com/tag/sarl+palai...
« La Villa des Dames » à Caen
purgée de tout permis de construire...
Faute d'investissement possible en PACA, revenons sur le plancher des vaches, dernière étape de notre exploration. Les produits proposés par M. David GOMES dans notre belle région sont au nombre de 3: « Le parc Notre-Dame » à Douvres et « Les Hauts de Venoix » à Caen, deux programmes BSI bouclés en 2007 et 2008... et le projet de « La Villa des Dames » :
« Cette opération de 33 logements (du 2 au 3 pièces avec possibilité de jumelage) et deux bureaux, avec permis purgé de tout recours se situe dans le centre ville de Caen (14), Avenue de Tourville, dans le quartier très prisé du port ».
On trouvera sur ce blog toutes les précisions nécessaires concernant ce « permis purgé de tout recours », mais néanmoins définitivement annulé par le Tribunal Administratif de Caen depuis bientôt deux ans.
Chez nous encore, la SARL DGI CONSULTING de M. GOMES fils n'a donc aujourd'hui rien à vendre, si ce n'est du vent.
Comme disait le regretté Bobby LAPOINTE: « Et le soir s'il fait du vent tard, je prends un bol d'air ».
La "Villa des Dames", état actuel d'avancement des travaux
Pour rendre une petite visite à la boutique de M. GOMES fils:
http://www.dgimmobilier-consulting.com/index.php?PHPSESSI...
http://www.dgimmobilier-consulting.com/annonces.php?page=page1&type=2
Villa des Dames, Hauts de Venoix, Parc Notre Dame
http://www.dgimmobilier-consulting.com/annonces.php?page=...
Résidence « Le Victoria »
http://www.dgimmobilier-consulting.com/annonces.php?page=...
et pour finir
http://www.dgimmobilier-consulting.com/
20:51 Écrit par Bruno dans La saga de Fernando de Tourville | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : fernando de almeida gomes, david gomes, michaël amour, christophe merier, patrice gudel, sarl dgi consulting, résidence charles vii à harfleur, les jardins de notre-dame à douvres, les hauts de venoix à caen, les courtines à harfleur, clos des etudiants et villas mathilde à caen, nexity georges v, le palais victoria à grasse